Les écrits

Cette page reprend quelques messages, textes et témoigagnes écrits par des stagiaires de nos activités, notamment les stages de découverte.


J’ai fait de merveilleux rêves de traces de nez la nuit dernière.

C’est une chance de pouvoir expérimenter un travail sur le corps et le lâché prise dans un cadre rassurant

Je suis pleine d’énergie après ce stage

Nadine G. janvier 2015


Merci à toi pour cette belle immersion

« 6 ans que j’y pensais…

Et bien je me suis jetée à l’eau. Un conseil éviter l’apnée! Vous aurez besoin de tout votre souffle. C’est une expérience difficile à décrire faite de partage et de découvertes. On y va par étape et tous ensembles on avance tranquillement dans un cadre qui nous permet de lâcher prise.

Au final c’est assez bluffant le chemin parcouru. N’hésitez plus l’énergie est en vous! »

Emma. Janvier 2015


J’ai trouvé T’chi Clown par hasard. Je suis arrivée avec mon courage à deux mains dans  une chambre d’étrangers qui deviennent  rapidement des amis et compagnons de voyage. Nous  avons exploré ce travail fascinant qui  peut changer la vie. Edmond est un maître à la présentation de ces moyens, parfois difficiles mais il tient encore l’espace avec l’intégrité, l’honnêteté et la bonté.

Lucy. Janvier 2015

C’est avec plaisir que je tente de donner mes impressions vécues lors du stage découverte du 1er décembre 2013

Difficile d’exprimer par les mots ce que j’ai vécu lors de ce stage de découverte « t’chi clown ». Il a fait émerger des énergies inconnues, tapies au fond de moi, de nous. Energies qui m’ont portées, emportées dans une relation profonde et peu habituelle avec les autres, faite de sensations fines, subtiles, confiantes. Approche feutrée pour une communication singulière, par le biais de ce nez rouge, petit masque protecteur et frondeur, et par la magie professionnelle d’Edmond.

Marithe, stage découverte le 12/2/2014


Je garderai un très bon souvenir du stage de t’chi clown des 1 et 2 février 2014; tant sur le plan de l’ambiance du groupe, que de la sympathie du professeur, que du contenu du stage. Les exercices, menés de façon très professionnelle, préparent  toute personne voulant se préparer(ou se perfectionner) à la scène et à être confrontée à un public. Travaillant avec des jeunes de tout âge, j’ai  aussi puisé de multitudes pistes de travail. Merci Edmond

Sylvie, professeur de danse, stage découverte, 02/14


Un stage d’impro-clown? Ca m’a tenté… Initiation!

Pour un novice, c’est parfait. Clown, j’ai trouvé le mot plutôt sympa, plutôt ouvert. Tchi-clown, ça devenait une énigme. Entraîné par la curiosité, me disant qu’il y aurait bien une vague parenté avec mon loisir favori: le tango argentin, je me suis donc inscrit pour ce week-end découverte.

Et  j’ai découvert une activité très enrichissante sur le plan personnel  derrière ce mot : clown, qui pour moi appartenait au monde du spectacle pour enfant. On est bien dans le spectacle, ok. Avec un public : les participants au stage.

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Mais d’abord exploration  minutieuse de l’espace qui nous entoure, de notre façon de le percevoir, de s’y déplacer, d’y rencontrer les autres, de bouger parmi eux, puis avec eux.

Gérer des consignes très précises qui nous amènent à évoluer ensemble, dans un enchaînement d’actions poétiques proches de la danse. On se touche, on s’évite, on se recherche du regard et de la peau, on se découvre, on joue ensemble. Emotions garanties!

Puis vient l’impro, seul ou en petit groupe face aux autres. Et voilà que s’invite… le MOI !!! Un MOI qui s’était fait assez vite oublier tant qu’il s’agissait de jouer sur des consignes, la musique  aidant. Mais qui se rappelle sévèrement au moment d’improviser, en toute liberté (cruelle liberté!) devant un groupe de stagiaires, à la bienveillance pourtant acquise. Grande leçon du stage: ce MOI, plein d’émotion et d’interrogations, franchement encombrant dans la première impro, j’ai appris à le poser d’abord (au sol), par le souffle. Ensuite, j’ai compris, qu’une fois posé, ce MOI était près, pourvu qu’on lui en laisse le temps, à livrer une petite idée, de quoi construire un début d’impro tranquillement, puis une autre…

Et ces yeux, devant MOI, ce terrible public! Eh bien, j’ai finalement pris le temps de m’exposer à eux et d’aller à leur rencontre, à l’abri de mon nez de clown, pour leur parler de moi. Peu à peu, la frayeur de l’impro s’est transformée en plaisir de partager de façon poétique et authentique (souvent maladroite) des petites choses persos, avec les autres stagiaires.

Bernard D, peintre, stage de découverte, 02/2014


Encore merci pour cette découverte, pour ce stage structuré, qui mène vers l’autre et vers soi.

J’ai  trouvé un lien avec ma formation de théâtre (vivre vraiment les émotions du personnage en  puisant dans les siennes)

J’ai trouvé un lien avec mon éthique « bouddhiste » (reconnaître ses émotions, les accepter, les explorer)

Du coup, ce we m’a fait énormément de bien, car il me permet de faire une grande cohésion entre toutes ces pratiques.

Moins sérieusement, je n’arrête pas de faire pffffff et de « penser » l’espace derrière moi !!!!!

J’ai l’impression que mes yeux sont plus gros !! Ahahah

Bref, merci merci et voici le petit, tout petit texte, en rouge (comme le nez du clown !!) et à bientôt j’espère.

Se relier à l’espace,

Être dedans.

Se relier aux autres,

Être yin , être yang.

Se relier à ses émotions,

Et…. dire les mots.

Catherine, enseignante et théâtre FORUM, stage découverte, 02/2014

Belle expérience de moi avec des mises en situation extraordinaire qui m’ont permis des prises de conscience.

Une méthode pour grandir personnellement pour et dans le groupe, pour s’explorer dans le jeu et aller vers un public en lui présentant une forme qui le touche aussi, je l’espère !

Arnaud, Ingénieur, Stage de découverte 06/2013


Le « nez rouge d’Edmond » est magique, il vous transporte et vous donne des ailes! L’émotion passe au dessus de la timidité, du doute, des soucis. Belle démarche de la préhension du clown et belle personne ! Le petit clown au fond de moi est paisible. Merci.

A.G, intervenant social, stage découverte 06/2013


Pour moi le TCHICLOWN c’est …

ETRE DANS LA PRESENCE A SOI …AUX AUTRES … A L’INSTANT

REGARDER ! REGARDER TOTALEMENT ! VOIR !

LACHER LES TENSIONS PFFFFFF …

Jouer avec notre égo, puis le laisser de côté, et peu à peu se défaire de notre masque social…

exprimer ce qui est là, suivre ce fil qui crée, découvrir un nouvel univers

OSER ! OSER ! Et encore OSER !!!!!

respirer ;;; se detendre ;;; suivre le mouvement de

l’énergie ! la sienne ! Celle du groupe !

Alors 1000 mercis à Edmond et à tous ses tchiclowns,

et une très longue vie !!!!!!!!!!!!!!!!!

Claire, assistante sociale en entreprise, 2012


Le regard. J’ai toujours aimé regarder les gens d’une manière que l’on juge

souvent « impolie ». Du coup je le fais furtivement, comme si je n’étais pas dans

mon droit. Ce stage m’a permis d’oser, d’oser essayer non seulement de regarder mais de VOIR les gens autour de moi et j’espère arriver à le faire avec de moins en moins de gène. De même, l’exercice du début, où l’on devait se regarder dans les yeux est peut être l’exercice qui m’a le plus touchée. J’avais presque l’impression de violer l’intimité de l’autre, de le percer, de le démasquer.

Regarder quelqu’un dans les yeux avec insistance, avec curiosité est quelque

chose que j’ai trouvé très difficile et déstabilisant. Pourquoi ? Parce que

notre société qui semble moins pudique que jamais l’est en fait profondément. On ne regarde jamais quelqu’un dans les yeux ou bien très furtivement. Dommage…

Le toucher. C’est, je pense, le sens auquel je suis le plus sensible. Mais dans

la vie quotidienne, je suis obligée de le « refouler » parce que « ça ne se fait

pas », parce que ça effraye. J’ai donc trouvé très intéressant le rapport au

corps et au toucher pendant le stage où j’ai pu percevoir une certaine

ambiguïté, plus ou moins forte selon les individus. On veut ressentir, toucher

mais … on a peur de ce qui pourrait bien arriver.

Particulièrement enrichissant aussi les particularités et réactions de chacun

des participants mais surtout l’infinité de leurs talents. Je dois dire aussi

que ça m’a réellement déstabilisée car voulant « travailler » dans l’ »Art », je me suis demandée « Mais qu’ai je de plus que les autres ? ». Quelle est la différence entre un artiste et une personne qui a du talent, car nous en avons tous ?

Il faudrait probablement refaire ce stage tous les jours car, happés par les

conventions, les règles et la peur, nous oublions si vite… Cela dit, je reste

sur ma faim, car malgré tout je n’ai pas réussi à « lâcher », il y avait toujours

ce gros nœud brûlant quelque part dans ma poitrine qui ne voulait rien savoir.

Je continue donc ma quête, merci !

Avec les plus sincères salutations de mon petit nez rouge,

Marie, W-E découverte 01/ 2011


Encore merci merci pour ce week-end de découverte qui est allé nous chercher à plein d’endroits pas si faciles !

Chapeau à toi pour nous amener avec fermeté et délicatesse vers le lâcher prise ! Pour moi personnellement c’est habituellement compliqué et long long de lâcher prise même en connaissant l’importance des enjeux qui y sont liés. Du coup je me suis bien amusé avec tous ces clowns inconnus ! comme quoi la rencontre entre nous autres humains est possible autrement que dans la représentation traditionnelle ! Je trouve ça très fort et très intéressant, avancer tous ensemble vers nos peurs et les confronter en jouant et du coup ne plus y penser mais s’amuser …; pour ce qui est de l’ultime impro, c’est ma peur d’être en public qui m’a guidée, superposée a ma difficulté de regarder les gens en face et dans les yeux et pour moi c’était un grand challenge que d’arriver à être là et vous regarder pendant 2mn, perso j’étais assez contente d’y être parvenue ! je n’avais pas envisagé les choses sous l’angle d’échanger ma place avec les spectateurs …mais c’est intéressant aussi et si tu as un peu de temps peu tu m’en dire plus ?

En tentant le clown, je cherche aussi mon endroit d’expression dont je ressent de plus en plus le besoin, je farfouille un peu partout … et me cacher derrière un clown me plaît bien quoi qu’il en soit.

J’aimerais avoir ton avis et je songe bien a m’inscrire au stage du mois de Mars en approfondissement d’univers singuliers…

Voilà voilà encore merci pour ces bons moments, cette belle découverte et ton savoir faire !

Bonne semaine

Marie, formatrice rééducatrice, W-E découverte 01/ 2011


Plaisir du jeu, évidemment (se laisser aller, s’amuser à redevenir un enfant en quelque sorte).

Plaisir du corps qui se meut, en rythme  avec la musique ou avec le mouvement des autres.

Plaisir de l’interaction entre  stagiaires, des échanges, des jeux collectifs.

Plaisir de laisser au vestiaire le temps d’un stage le costume de tous les jours, lâcher prise.

Plaisir de se laisser guider par son imaginaire et ses rêves.

Plaisir de respirer, de se recentrer, de prendre le temps de ne rien faire ou de ne rien dire.

Plaisir d’être quelqu’un d’autre.

Plaisir d’être soi-même, sans peur du jugement des autres ou de ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire.

Célia, documentaliste, WE découverte 06/2010


Bonjour,

J’ai du faire le stage clown il y a plus de six ans maintenant je ne me rappelle plus exactement.

Toutefois cela reste un souvenir unique dans  mon parcours théâtral. J’ai ensuite eu la chance de rentrer dans un conservatoire régional de théâtre pour passer un DET)

Je me souviens que ce week-end-là nous étions seulement  deux  « apprentis T’chi clown »

Nous avons « voyagé » ensemble pendant huit heures, à l’écoute de nos sensations, à la redécouverte de ce clown oublié, dans un climat serein d’apaisement, de bien-être  ….. D’amusement !!

Edmond force mon respect, mon admiration, artisan paisible dont le travail mérite d’être reconnu à sa juste valeur.

N’hésitez pas à embarquer avec lui,  le clown qui sommeille en vous est a porté…. de souffle

Bien à toi  Edmond.

Joël, Comédien, stage découverte 2008, 01/2014


Et ce week end, bonne surprise avec le Tchi clown :

ou comment libérer son énergie, utiliser ses sens et laisser des traces…

Je sais, un peu nébuleux ce que je dis, mais je me suis amusée comme une gamine et lundi matin, en arrivant au bureau, j’ai comme d’habitude fait des bisous quotidiens, sauf que là, j’ai senti précisément chaque grain de peau sur ma joue ! eh oui, certains stages ont du bon !

Etre « là » à coup sûr … sur scène ou ailleurs.

Monique, Stage WE en 2008 à Terre de Scène théâtre amateur


Merci Edmond pour ton message et pour ce week end que je conserverai aussi

pour longtemps ancré en moi. Toute une bibliothèque d’images et de

sensations me sont réapparues aujourd’hui…

Je t’ai senti passionné par ce que tu fais et ce que tu donnes et j’ai

beaucoup aimé le recevoir.

Peut-être nous croiserons nous au détour d’un stage de biodanza…)

Evelyne Stage WE en 2008 à Terre de Scène théâtre amateur


» Les stages courts m’ont permis de faire plusieurs découvertes, ressenties physiquement. Parce qu’elles imposent des limites strictes (temps, interpellation du public dans le jeu) les règles du jeu T’chi clown offrent de la liberté à ceux qui s’en saisissent : exploration des limites corporelles, des fantaisies individuelles. Entre les joueurs, le regard a priori menaçant devient complice. C’est la première fois qu’en moins de 24 heures, j’ai vaincu mes appréhensions par rapport à des stagiaires pour me sentir finalement bien avec eux, sans jugement de part et d’autres, dans le plaisir d’être là, ensemble. »

Evelyne, assistante sociale stage découverte (2006)